Comme c’est
agréable de se promener dans ce cimetière peuplé d’inconnus où personne ne vous
attriste, aucune nostalgie, pas de souvenirs d’inhumation. La curiosité occupe
le terrain : lire les noms, admirer l’art funéraire et les fleurs en
automne.
Sur la
colline de Fourvière on peut apprécier le calme de cette antique cité des morts
où les gallo-romains reposent depuis des millénaires.
Voilà !
aujourd’hui je possède quelques repères (re-pères) au cimetière de Loyasse. Je vais visiter les tombes où se
trouvent les ancêtres lyonnais, leurs cousins et leurs amis.
Marie Jacques
dite Jacqueline Margaron avait 37 ans en 1838. Son nom précède une longue liste
de certains de ses descendants qui reposent là.
Leur
sépulture, c’est aussi leur histoire, on peut penser aux moments tristes et aux
émotions qu’ils ont vécus dans ces lieux.
Les
Archives de Lyon publient sur leur site les registres des convois funéraires de 1876 à 1967.
visite virtuelle du cimetière de Loyasse
Un regret :
C’est là
que j’ai rencontré Pierre Chartron avant qu’il ne meure. Il m’a dit que sa sœur
s’intéressait à la généalogie et j’ai mis une dizaine d’années avant de faire
la connaissance d’une cousine adorable qui m’a accueillie avec ces mots :
« Vous avez mis bien longtemps à venir, je pensais que vous étiez fâchés. »
« Vous avez mis bien longtemps à venir, je pensais que vous étiez fâchés. »
Parfois l’explication
des secrets de famille est plus proche que ce que l’on pense...
Une promenade parmi des connaissances au
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