Puisque le #généathème de janvier propose « j’organise mon année généalogique » , comme le font les généablogueurs je vais annoncer mes projets pour 2017.
J’ai tendance à me disperser lorsque je jardine dans ma forêt. Je m’occupe de plusieurs branches, et même de plusieurs arbres en même temps
et j’adore cela. Je
sème des graines, je fais des boutures, j’ai une dizaine d’articles en cours d’écriture
qui attendent de mûrir pour être récoltés dans mon panier, enfin dans mon blog.
Le ChallengeAZ est en
construction, j’ai déjà le thème mais chut...
Réussirai-je à réunir un bouquet plaisant, autour des 26 lettres ?
Réussirai-je à réunir un bouquet plaisant, autour des 26 lettres ?
Le projet lié à mon travail sur
le fonds de correspondance familiale devrait se centrer sur la période 1914-18.
Le coffret bleu que l’on m’a confié contient la correspondance quasi
journalière envoyée par Marie à son époux entre 1914 et 1919. Ayant commencé à classer et à lire ces lettres, je prends des notes afin de numériser les pages importantes, mais j’ai pensé déclarer forfait devant la quantité
de missives. Or, il se trouve que les Archives de Lyon viennent d’annoncer que leur prochaine exposition aura pour thème La vie quotidienne à Lyon pendant la Grande Guerre. Lors de la semaine de la généalogie en novembre, si je réussis à monter une présentation de ces lettres en croisant les événements qu’elles évoquent, je pourrais proposer ce témoignage sur le vif de nos familles lyonnaises au temps de la Première Guerre mondiale.
Bien sûr, je prévois encore de papillonner sur mille sujets.
J’aimerais avancer mes chantiers généalogiques en cours.
Plusieurs contrats de mariage que
j’ai photographiés attendent d’être transcrits et étudiés en détail. Auriez-vous
mis au point un modèle de tableau qui permettrait de comparer la valeur des
dots au fil des époques, selon les familles ?
J’ai eu la possibilité de numériser des albums de photos inespérées, il faut que je prenne le temps de
les relier aux personnes des arbres, même si ce sont des portraits de cousins
éloignés à identifier. En croisant les sources, j’ai réussi à poser des noms sur
des photographies.
Et voilà une quantité d’histoires à mettre en forme…