2015-11-19

#1J1P _ On n’en finit pas de les ajouter à nos arbres, tous ces cousins morts lors de la Grande Guerre

Suite de l'article précédent qui se passe aux AM de Marseille.

A Marseille, je répertoriais des vivants, enfin je m'occupais de ceux qui ont vécu au siècle dernier et qui sont morts maintenant. Ce n’est pas des jeunes gens tombés à la guerre, que je cherchais. Je pensais avoir fini de recenser nos proches cousins parmi les soldats, j’imaginais que les autres avaient été épargnés.
Mais on n’en finit pas de les ajouter à nos arbres, tous ces cousins morts lors de la Grande Guerre de 1914-18.

Voici mes poilus de Marseille que j'ai indexés sur le site Mémoire des Hommes, pour #1J1PUn Jour Un Poilu :

François Angelvin est né à Marseille le 3 août 1880.  Il était célibataire, il allait avoir 36 ans lorsqu’il est mort le 4 juillet 1916, tué à l’ennemi lors de la bataille de Verdun, dans le bois d’Avocourt à Esnes-sur-Argonne. Il était sergent au 373e Régiment d’ Infanterie.
Son grand-père, Louis, est le frère de Pierre Théodore (sosa 52).
Mais François n’est pas la seul « Mort pour la France », en lisant mieux les actes que j’ai trouvés aux AM de Marseille, j’ai la triste surprise d’en découvrir d’autres.
Martial, le cousin de François, a épousé la veuve d’Albert Bathélemy Payan, mort pour la France sur le Front d’Orient, à Salonique, le 29 août1916.
Il y a encore Mayeul Angelvin de Valensole qui n’est pas (encore) rattaché à notre arbre.

Ces hommes jeunes, tombés entre 1914 et 1918, s’inscrivent parmi les feuilles inconnues de mes arbres. Qui s’en souvient aujourd’hui ?

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