Ils sont innombrables les rameaux provenant de notre arbre
patronymique.
Nos racines puisent leurs origines dans l’île du Giglio. Le
tronc de l'arbre paternel, c’est mon vieil ancêtre Mateo Bancala. Il vivait au début du XVIe
siècle. Ses fils ont donné naissance à d'anciennes familles, bien répertoriées sur l'île au fil des siècles[1] , dont les descendants demeurent encore pour certains, en Italie et précisément en Toscane.
Actuellement en France, mes cousins se comptent sur les doigts d’une main.
On sait que les Italiens ont beaucoup émigré; ceux-là habitaient
dans une île, ils savaient voyager en mer et ils espéraient une vie meilleure
sous d’autres cieux.
Une simple recherche fait apparaître des foyers vivant
actuellement en Amérique, aux États-Unis et en Amérique du Sud.(Chers GeneaBloggers si vous partagez mes racines vous pouvez me contacter !) Quelques familles
se trouvent en Europe. On se perd déjà dans cette enquête.
Ce patronyme est rare. L’origine la plus ancienne est tout à
fait localisée dans notre île. En Italie, il s’écrit Bancalà, il perd souvent
cet accent en voyageant.
Aujourd'hui je m'intéresse
aux Argentins dont le nom est Bancala. Surprise ! ils sont nombreux. Ils vivent à
Buenos-Aires où les premiers immigrants ont débarqué et se sont répandus vers
la Pampa.
Nous allons voyager dans
ce pays ; si en France j’ai peu de chance de croiser la route d’une
feuille inconnue qui pourrait porter le nom de mon arbre, sans le chercher cela
pourrait être plus probable en Argentine.
(à suivre dans le billet qui vient)
[1]
E.
de Fabrizio, Isola del Giglio, il territorio, gli abitanti e la storia COEG 2006
Bruno Begnotti, Cronache
Gigliesi 1558-1799, Circolo Culturale Gigliese 1999
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