Est-il important de connaître les adresses de nos ancêtres ?
J’aime à leur envoyer mes pensées affectueuses, lorsque je passe devant leur domicile, surtout si j’ai découvert la localisation après de longues recherches.
J’aime à leur envoyer mes pensées affectueuses, lorsque je passe devant leur domicile, surtout si j’ai découvert la localisation après de longues recherches.
Je dois vous avouer que si mes descendants faisaient la même chose en levant les yeux sur les immeubles où j’ai habité, cela me paraîtrait dérisoire.
En tout cas, savoir où ils ont vécu, même peu de temps, nous permet de mieux comprendre nos ancêtres et surtout de matérialiser quelques moments de leur existence, sans prétendre toutefois que mes impressions ont été semblables à celles qu’ils ressentaient à leur époque.
La possibilité de pouvoir raconter des histoires à partir des lieux titille mon imagination.
J’ai eu envie d’explorer StoryMap.
Sur Geneatech, le tutoriel de Sophie est très efficace, en quelques minutes on obtient une carte de narration où s’insèrent le plan, la photo et le texte.
Avec un clic sur la flèche à droite, allons voir les adresses de la famille du docteur Arcelin, à Lyon :
Pour reconstituer le parcours de Fabien et Thérèse dans Lyon,
commençons par ouvrir les archives familiales, les correspondances, les faire part, les actes d’état-civil, le livret matricule, les recensements, les annuaires …
J’apprécie de noter, à la volée, les adresses dans cet onglet du logiciel Ancestrologie dont je ne trouve pas l’équivalent sur Généatique. (Je travaille avec ces deux logiciels).
Ensuite, j’utilise un tableau Excel pour sourcer les lieux.
Ce répertoire met au clair les adresses successives, mais il fait apparaître quelques discordances.
Faut-il considérer les numéros du tableau de recensement comme les numéros des maisons ?
Le recensement (AD 69) indique la présence de la famille au n°4 de la rue du Plat, alors que l’annuaire donne comme adresse le n°6. Plusieurs lettres ont eté adressées au n°4. Donc, le doute persiste, il faudra que je retourne photographier l’immeuble voisin, afin de vérifier s’ils ne communiquent pas.
Lorsque la famille Arcelin s’agrandit, elle doit déménager, tout en restant dans le quartier. Le grand appartement du rez-de-chaussée au n°23 rue Sala s’avère bien pratique je sais que les enfants apprécient d’entrer facilement par la porte ou par la fenêtre, en particulier pendant la 2GM.
Thérèse qui est née dans le même arrondissement, aura déménagé seulement de quelques mètres plusieurs fois au cours de sa vie.
Les amis et plusieurs générations de cousins, habitent des immeubles à proximité.
Comme beaucoup de Lyonnais, ces familles étaient locataires de leurs logements à Lyon.
J'aimerais tant pousser la porte et pouvoir entrer chez eux afin de les retrouver.
Pour voir la ligne de vie de Fabien (le premier des 6 billets de la série consacré à ce grand-père)
Ou comment donner aux autres l'envie d'essayer ... ;)
RépondreSupprimerChère Nat,
RépondreSupprimerJe t'incite à tester StoryMap, c'est bien plus facile qu'on ne le pense et cela donne de nouvelles perspectives à nos récits de généalogie.
bonjour, c'est en Anglais, j'ai beau cliquer sur le langage Français beaucoup trop long à traduire, ce n'est pas si simple, j'ai déjà une carte sur Google Maps avec les adresses, comment faire ? Merci
RépondreSupprimerBonjour,
SupprimerJ’ai suivi sur Généatech le tutoriel de Sophie et cela m’a paru simple.
Il n’est pas nécessaire de faire appel à Google Map qui n’est pas équivalent à StoryMap pour placer le texte et la photo. Il suffit d’entrer l’adresse et la carte se met en place.